Comme après une longue nuit de sommeil, le réveil se fait en douceur. Les yeux s’ouvrent doucement, mais il faut encore du temps pour reconnaître l’endroit. Quelque peu encore groggy, cinq personnes comprennent qu’elles sont allongées sur un lit peu confortable, entourées de murs blancs, éclairées par des ampoules à néons grésillant au-dessus de leur tête. Puis, peu à peu les choses prirent forme autour d’eux. Chacun trône sur un lit d’hôpital se trouvant dans une salle commune, rattaché à une perfusion. Où étaient-ils ? Que faisaient-ils ici ? La réponse semblait vague, mais ces étranges patients semblent pour certains, se remémorer de manière floue, les raisons les ayant conduits jusqu’ici. Mais même ces raisons semblaient tirées d’un rêve. Le mieux, sans doute, serait de savoir qui étaient leurs voisins, et quel était vraiment cet endroit.

Les lits étaient installés côte à côte. Curieusement, leurs occupants avaient gardé leurs vêtements de la veille, comme si on n’avait pas pris le temps de leur mettre la fameuse chemise en papier. Contre les murs, on pouvait apercevoir quelques meubles à pharmacie, ainsi que des plantes mortes et des affiches médicales, traitant de la trépanation ainsi que d’opérations chirurgicales. On y voyait très bien, non sur des schémas, mais sur des photos réelles, des hommes et des femmes se faisant découper.

En plus de la lumière des néons, celle de la Lune passait entre les barreaux des fenêtres. Des barreaux ? Pourquoi une telle précaution dans un hôpital ? De prime abord, il semblerait que le seul moyen de sortir d’ici  était cette grande porte à doubles bâtants vitrée, en acier. Au-dessus d’elle, une petite lumière rouge était allumée. Cette ouverture semblait électronique et cette lueur indiquait clairement qu’elle était verrouillée. Mais le plus inquiétant restait qu'il ne résonnait pas le moindre bruit, dans l'établissement. Aucun écho de pas ni bourdonnement de machine, pas de toussotement… Le silence complet. Même le vent se faisait absent. Que se passait-il donc ici ?




Pour toutes vos questions, veuillez contacter le référent de cette intrigue, Slade Wilson.

Seulement trois protagonistes sont parvenus à sortir de leur torpeur. Les deux autres quant à eux, semblent encore plongés dans ce sommeil artificiel, ne manifestant donc aucune activité. Pour le trio réveillé, c’est la confusion totale. Ils ne se sont jamais rencontrés par le passé, leur tête leur étant inconnue. Qui sont donc ces deux autres personnes se tenant devant soi, et qui sont donc ceux encore plongés dans le coma ? Des questions légitimes, car jusqu’à présent, aucune réponse ne leur fut donnée sur leurs nouveaux camarades, et encore moins sur l’endroit où ils se trouvaient. Mais ils n’étaient qu’au début de leurs mésaventures. Et certains, commencèrent à découvrir un des effets de cet endroit, se faisant bien sentir.

Alors que chacun cherchait des réponses et pouvait fouiller la pièce sans grand succès, un « Bip » résonna dans toute la pièce. La lumière rouge au-dessus de la porte vira au vert et la porte en acier s’ouvrit en grand devant eux, laissant s’engouffrer un souffle d’air à glacer le sang et les os. Qui avait donc ouvert la porte ? C’était encore une question qui devrait attendre sa réponse, car personne n’entra dans la salle commune. C’était comme si on les conviait à sortir. Au moins, il était possible de voir ce qui se cachait derrière cette lourde porte.

La franchissant, on se retrouvait dans un long couloir de couleur blanc avec des bas-relief bleus. La lumière ici par contre, ne faisait que grésiller. Les quelques flashs produits dévoilaient des panneaux d’indications accrochés sur le mur d’en face. Qu’allaient donc faire l’ancien protégé du Green Arrow et celui de l’ambassadrice de la Cinquième dimension, ainsi que la sœur de la princesse de Themyscira ? Allaient-ils coopérer pour comprendre où et comment sortir d’ici, ou bien œuvreraient-ils chacun de leur côté ? Le choix leur appartenait, mais ce qui ne fit rien pour les rassurer fut cet étrange rire. Celui d’une enfant, qui dura pendant quelques secondes, et qui résonna dans les couloirs de cet hôpital.

Le panneau indiquant le côté gauche mentionnait la salle d’opération chirurgicale, bien entendu tâché d’une étrange peinture rouge - s'il s'agissait de peinture… Celui de droite, non tâché, indiquait la direction vers le bloc psychiatrique, mais semblait se décrocher de la surface lisse du mur.

   

Le groupe se divisa finalement. L’archer et l’aventurier choisirent de rester ensemble pour rejoindre l’aile psychiatrique du centre Hospitalier, alors que l’intrépide guerrière voulu suivre cette voix familière dans la direction opposée. Qui avait raison, qui avait tord dans sa façon d’agir, nous ne tarderons pas à le savoir. Quoi qu’il en soit, il était à présent trop tard pour faire demi-tour. Car chacun des mini-groupes, durent franchir une nouvelle porte battante, qui une fois passé, disparue pour laisser place à un mur. Condamnant ainsi tout espoir de faire marche arrière.

Donna Troy suivit donc ce long couloir, pour arriver enfin dans une immense salle. L’écriteaux au-dessus d’elle indiquait bien le bloc chirurgical. Mais ici, elle ne trouva personne d’autre. Tout semblait sans dessus dessous. Des armoires renversés et éventrées, laissant gicler au sol leurs entrailles composés d’instruments d’opérations, de livres et de boites de médicaments. Les chaises aussi furent renversée. On dirait que le personnel dut quitter les lieux dans la panique. Sans doute quelque chose de terrible, à en juger par ces rideaux semi-transparent, tâché de sang qui pendaient tout autour de Donna. Avons-nous dit qu’elle était seule ? Et bien, pas tout à fait. Car la salle était en réalité coupée en deux, divisé en son milieu par un mur de verre. D’un côté, Donna et le mobilier chambouler. De l’autre, un personnel médical, immaculé de blanc aux tâches rouges, procédant à une opération. Mais la patiente, oui c’était bien une femme, n’était pas anesthésié. Bien vivante, elle hurlait de douleur, alors que les médecins, des bouchés plutôt, découpaient sa chaire avec des scalpels, sans se soucier des supplications de leur victime. Et quel choc pour Donna, quand elle reconnu cette femme qui la regardait à travers ses yeux mouillés et hurlait :

« Donna ! Sauve-moi par pitié ! » Alors qu’un de ses bourreaux finissait de découpait une des jambes ensanglantées de Diana Prince.

Roy Harper et Jack Emerson arrivèrent quant à eux, dans un curieux endroit. Après quelques détours, ils finirent par découvrir toute une série de portes, espacées les unes des autres de deux mètres aux moins. Chacune semblable, elles étaient verrouillées, faite en fer et ayant une petite ouverture condamnée par des barreau en haut, mais dont on ne pouvait voir que l’obscurité de l’autre côté. C’était ainsi tout le long, et même dans les couloirs suivants qui se divisaient. Des escaliers qui montaient ou descendaient, conduisaient aussi à d’autres couloirs semblables avec une nouvelle séries de cellules. Très vite, nos deux héros se retrouvèrent piégés dans un dédale où faire demi-tour devenait compliqué. La seule chose qui différenciait ces portes, étaient les noms inscrit sur une pancarte dessus. On pouvait lire des noms tels que « James Wilson », « Sarah Freeman », « William Thompson » ou « Lian Harper. »

   

   

Nous pouvons dire que nos trois héros font face à l’élément déclencheur de notre histoire. Finalement, chacun se retrouva séparer l’un de l’autre et exposé d’une manière bien étrange, à l’une de leur plus grande peur. Que se passait-il donc enfin dans cet hôpital ? Rien ne semblait avoir de sens, et ce sera à eux de percer ce mystère, enfin… S’ils arrivent à s’en sortir vivant de ce lieu de cauchemar.

L’aventurier est donc entouré des corps de tous ceux qui l’ont accompagné durant ses précédentes aventures. De quoi perdre la tête. Et pour enfoncer le clou, son frère Mike Emerson, se tenait devant lui, l’accusant du malheur de tant de monde. Et au fur et à mesure qu’il rappelait les erreurs commises par son jeune frère, chaque corps dans cette morgue, se relevait pour foudroyait d’un regard vide Jack, appuyant donc les allégations de l’accusateur. Est-ce que Jack arrivera à se défendre dans ce tribunal qui se formait autour de lui, où il était l’accusé ? Où trouvera-t-il un moyen pour fuir cette tombe ?

Roy Harper n’était pas dans une meilleure position. Immobilisé, il fut condamné à regarder impuissant ce psychologue démolir l’image qu’avait Lian de son père. Et le plus atroce sans doute, fut que l’enfant finissait par acquiescer en versant toutes les larmes de son corps. Le médecin alors, semblant réjouit d’avoir réussi à convaincre ce petit être lui fit la promesse qu’ici, elle serait toujours en sécurité, et entouré de personnes qui l’aimaient vraiment. Lian, secoua la tête pour dire oui, tout en serrant sa peluche contre elle. Ainsi, on la guida vers une porte dérobée où ne régnait que l’obscurité. Que peut donc faire Arsenal face à ça ? Curieusement, il semblait retrouver peu à peu l’usage de ses mouvements, mais demeura au ralenti. Tentera-t-il le tout pour le tout et arrivera t’il a rattrapé son enfant et l’homme qui l’enlevait ou acceptera t’il ce choix et… Fera-t-il demi-tour ?

Donna devait faire face, à la plus grande frayeur que pouvait éprouver une sœur. Voir celle qui partageait son sang subir les plus grandes atrocités. La vision de celle qu’on aimait plus que tout, se faire découper vivante sous nos yeux, devenait insupportable. L’amazone eut beau crié et taper, les médecins, si on pouvait l’appeler de la sorte, ne semblaient nullement remarquer sa présence, poursuivant leur sinistre besogne. Mais cas cela ne tienne, Troy ne voulut l’abandonner et continua à frapper avec la chaise, la vitre qui justement, semblait commencée à se fissurer. Encore quelques coups, et peut-être pourra t’elle sauvée sa sœur. C’est alors que Wonder Woman, le visage recouvert par un masque fait de sang et de larme, cria à Donna « Fuis ! Oublie-moi ! Ils vont s’en prendre à toi juste après ! »

   

Malgré les épreuves rencontrées, chacun des prisonniers de ce cauchemar, prit la décision de se battre pour surmonter leur peur, et cela eut des conséquences plutôt inattendues...

Donna refusa de suivre les supplications de sa sœur, et parvint à briser la vitre, se tenant prête à secourir Diana et à mettre en pièces le boucher qui s’amusait à la découper. Mais à peine le premier coup donné contre le pseudo-médecin, ce dernier disparu comme par enchantement, et c’était un étrange appareil qui apparut devant elle. De forme sphérique, ce globe métallique possédait un œil unique ressemblant à l’objectif d’une caméra. La machine flotta quelques secondes dans les airs, là où se tenait le médecin, avant d’émettre des grésillements et de tomber au sol dans un fracas, résonnant dans toute la pièce. Diana Prince et le complice des atrocités, avaient disparu aussi comme si… Ils n’avaient jamais été là.

Roy tenta le tout pour le tout aussi, afin de venir au secours de sa fille. Refusant également de faire demi-tour, et d’abandonné la chaire de sa chaire, il parvint à briser cet étrange enchantement et à rattraper les ravisseurs de son enfant. Armé lui aussi, il s’attaqua au psychiatre qui emmenait sa fille. Mais lui aussi, il sera témoin d’un étrange phénomène. Ayant rattrapé cet homme et son assistante, tous deux disparurent à leur tour, et là où se tenait Lian, une poupée des plus grotesque, à l’effigie d’une jeune fille blonde avec deux couettes, prit sa place. Plus aucune trace de la fille de Roy, ni du personnel.

Jack quant à lui, préféra agir autrement. Loin de prendre la décision de se battre contre son père et les revenants de son passé, l’aventurier préféra accepter son sort. Il fallait croire que c’était une décision judicieuse, Mike fout de rage disparue à son tour avec ses zombis, abandonnant Jack dans la morgue. Sain et sauve, et ne comprenant pas trop comment, l’archéologue découvrit une affiche mentionnant un publique digne de Star Wars.

Mais tous les trois n’étaient pas encore au bout de leur surprise. Car une voix criarde gronda dans tous le bâtiment, la même voix enfantine que tout à l’heure :

"Non ! Vous n'êtes pas drôle !"

Tout à coup, les murs se mirent à trembler. Un séisme sembla avoir frappé tout le bâtiment. Les quelques meubles encore debout s’écroulèrent. Et puis, tout s’effondra. L’hôpital partit littéralement en morceaux, et ses débris furent comme aspirer dans un grand vide. Quant à nos trois héros, ils furent comme tirer vers le haut, quittant violemment cet endroit enfin. Pour finir où ? Et bien, ils se retrouvaient sur une plateforme, sans doute un une des anciennes salles de l’hôpital qui flottait dans les airs.

Que se passait t’il ici enfin ? Donna, Roy et Jack pouvaient avoir raison de se sentir perdu. Profiterons de ce temps d’accalmit pour comprendre ces événements et faire part de leurs interrogations ? Le temps était hélas un luxe. Car d’un coup de tonnerre, un immense monstre sorti du néant, pour faire face aux trois héros. Il ressemblait à une créature zombifiée, aux yeux rouge sang, ayant des cheveux couleur or avec deux couettes, et une robe d’enfant en lambeau sur le dos. Le monstre se mit à sifflet à leur encontre et hurla :

"Vous voulez n’en faire qu’à votre tête ?! Très bien, alors on va changer les règles ! pas question que vous gagnez !"

Et la bête, fit abattre une de ses énormes mains sur le trio.

Informations supplémentaires :
-Donna Troy - Tu commences à retrouver rapidement tes pouvoirs comme ta force sur humaine et ton agilité.
-Roy et Jack - Vous découvrez derrière vous une caisse remplit d'arme. Vous y trouverez bien un arc avec des flèches renforcées, ainsi qu'un fusil à pompe et un AK-74 avec des munitions.

Ceci peut vous être utile… Ou pas.

Le monstre aussi imposant qu’une montagne, ne semblait prédisposer à laisser en paix les trois prisonniers de l’hôpital. Très vite, Roy Harper et Jack Emerson, saisirent leur chance en attrapant chacun une arme pour se défendre et en finir avec la chose. L’ancien disciple de l’archer vert, parvint à accomplir un tir qui semblait déplaire à leur adversaire commun. Mais le monstre cauchemardesque, balaya d’une main ce dernier, et l’Amazone, manquant de les assommer pour de bons. Quant à l’aventurier, il tenta le tout pour le tout, en vidant son chargeur sur la bête, pour ainsi protéger ses camarades. Mais ses balles, semblèrent moins efficaces que la flèche explosive d’Arsenal.

Lorsque soudain, des éclairs déchirèrent le ciel en lambeau. Le titan cadavérique, hurla à rendre sourd, avant de clignoter. Et, une voix juvénile résonna dans cette arène, semblant bien remontée.

"Oh non ! Ca bug encore ! Oh et puis zut ! On arrête là, c'est bon. J'espère que vous êtes content ?!"

Puis, le monstre disparu comme par enchantement. L’environnement tout entier, se décomposa comme s’il était pixéliser, avant de s’effondrer sur lui-même. Ce fut littéralement la fin du monde, tout ce qui composait cet univers, venait à disparaître sans laisser de traces. Et quant à nos héros, ils furent tous frapper d’un nouveau flash. Sauf que cette fois-ci, ce qu’ils découvrirent après les laissa sans voix.

Roy, Jack, Donna se retrouvèrent l’un à côté de l’autre. Sauf qu’ils étaient installés dans de curieux fauteuils rembourrés, relier par des fils à une machine énorme suspendue au-dessus de leur tête. Momentanément aveuglés, ils s’habituèrent vite à la lumière pour découvrir qu’ils s’agissaient de spots. Et petit à petit, des silhouettes se dessinaient tout autour d’eux. Une foule de personne leur faisaient face et… Ils applaudissaient. Un publique amusé par ce qu’il voyait, composé aussi bien d’humains que d’espèces bien étrange, digne d’une scène de Star Wars, contemplaient les trois pauvres captifs. Ils criaient haut et fort "Oui bravo ! Magnifiques !" en divers langues, humaines ou non.

Au-dessus de ce publique, un immense écran s’alluma. Et à l’image, apparaissait une jeune fille, aux yeux bleus, les cheveux de couleur blond, avec deux couettes et portant une robe rose. L’enfant semblait examiner de manière sévère les trois compagnons d’infortune. Avant de s’exclamer sur un ton plus enjoué :

"Eh bien mesdames, messieurs et autre chose, nos trois participants ont réussis de façon inattendu à s’en sortir ! Mieux que les deux andouilles balancer dehors. En effet, nous avons nos premiers gagnants de notre jeu « Halloween horror nightmare ! » Présenté par votre animatrice préférée… Moi, Baby Doll !"

La foule semblait bien plus excitée qu’avant. Tout le monde se leva pour acclamer l’animatrice qui venait de se désignée. Des lumières colorées emplissaient la pièce, avec de la fumée pour accentuer le Show. Jack, Roy et Donna, furent libéré de leurs entraves. Et avant qu’ils puissent dire quoi que ce soit, Baby Doll poursuivit :

"Notre émission reste la meilleur sur plusieurs monde, j’espère que vous avez aimé les winners ! Et comme tout bon jeu, vous gagner quelque chose en plus de votre vie !"

Des lumières blanches apparurent devant chacun des candidats non-consentants. Ils s’agissaient d’ouverture sur le sol, qui laissaient sortir un objet, lévitant devant chacun d’eux. Roy Harper reçut comme présent, une figurine de robin des bois de Disney, qui si on appuyer sur la tête, crachait une mousse explosive. Jack quant à lui, c’était une paire de bottes au look rétro, mais qui pouvait aider leur porteur à faire des bonds vertigineux. Et pour Donna, une boule à stresse électrifier qui pouvait paralyser la personne sur qui, on la lancer. L’animatrice, avait encore quelque chose à dire pour la fin.

"Bon, voilà qui est fait. Maintenant, il est temps pour vous de vous tirer : Si vous n’avez pas casser ma machine en faisant n’importe quoi, ce serait en navette de luxe. Mais zut pour vous. Alors bon Halloween, et joyeux Noël !"

On put voir Baby Doll, appuyer sur un bouton sur l’écran. De suite, un rayon frappa chacun des vainqueurs qui les renvoya là, où ils se trouvaient juste avant de rejoindre ce jeu bien étrange. La foule bien entendu, était toujours en extase, félicitant leurs nouveaux champions mais aussi, la reine de ce jeu. Ils étaient même excités d’avance, pour la prochaine fois.