Bon… Si je maintiens ce bouton enfoncé, cela devrait… Ah mais cela enregistrait déjà parfait. Bon commençons. Salut à tous ceux qui m’écouteront. Ceci est un enregistrement pour l’aider dans mon travail, mais aussi qui aiderons certains à mieux comprendre la situation. Bon, je me lance. De toute manière, avec tous ceux que l’on voit ces derniers temps, ce n’est pas ceux que je vais vous raconter qui va vous étonnez. Si ?

Pour commencer, je me nomme Jack Emerson. Né à Métropolis, la ville de Superman, ma famille et moi vivions dans un appartement modeste. Ce n’était pas luxueux, mais pas non plus la misère, alors cela allait. Notre père travaillait en tant que professeur d’histoire ancienne à l’Université de la ville et nous étions fier de notre paternel. Notre mère était journaliste d’investigation. Depuis tout petit, il racontait à mon frère Mike et moi des histoires incroyables. Mes préférés étaient les légendes où des héros devaient affronter un monstre puissant, quelle que soit la culture. Ma mère quant à elle, nous transmit le goût de l’aventure et de la recherche de la vérité. Ce sont ces histoires qui ont forgé notre enfance et qui auront un impact sur notre futur. Bon, pendant cette période, il n’eut rien de spécial. On allait à l’école, on jouait avec les potes, on passait les fêtes en famille… Bon, il eut des attaques aliens et de mutant sur la ville, mais je vous laisse vous documenter dessus avec les journaux, il y en a tellement eu que je ne serais tout vous raconter.

Mike et moi suivions des études pour devenir archéologue. Notre père nous avait beaucoup influencés dans ce choix et il nous encourageait dans cette voix. Ce fut sous son aile que nous parvenions à percer dans le milieu. Bref, tout se passait bien, sans grand-chose jusqu’à ce triste jour. En effet, Métropolis fut attaqué par cet immense vaisseau. Il a manqué de tout détruire si les anges de la ville n’étaient pas intervenus. Grâce à eux, l’invasion fut repoussée. Mais hélas, la catastrophe faite par ces envahisseurs fut terrible. Beaucoup ont perdu la vie. Notre mère disparue, ce jour-là. Son corps ne fut jamais retrouvé sous les débris, mais nous n’avions plus eu le moindre signe d’elle. Depuis ce jour, notre père s’était renfermé, pleurant des journées entières. Mike et moi avions eu du mal à le consoler.

Les mois en passé, et cette cicatrice ne s’était jamais complétement refermé. J’ai poursuivi mes études jusqu’à ce que notre duo obtienne leur diplôme. Je ne me concentrais pas uniquement sur les civilisations anciennes de notre monde, mais aussi sur celles des aliens connues qui ont visiblement influencer notre propre monde. J’avais écrit de nombreuses théories dessus et des thèses avec. Ce fut plus ou moins accepter par le monde scientifique. Mais que m’importait, je parcourais le monde entier sur de nombreux sites de fouilles pour le musée de Métropolis. J’étudiais chaque ruine, chaque artefact que je trouvais. J’allais même fouiller dans des endroits reculés et perdus, parfois même sans aucune autorisation pour ramener un trésor fabuleux qui apporterait du prestige au musée. Voilà, tout cela était le résumé de mon job. Mais j’ai dû changer quelque peu mon parcours à cause d’une bien triste affaire qui m’a bien secoué, autant que le jour de la disparition de mère.

Alors que je revenais de Chine où je fus chargé de retrouver un ancien artefact religieux magique, une longue histoire, mon frère Mike me contacta. Il disait qu’avec père, ils voulaient qu’on aille faire des fouilles ensemble pour trouver sans doute, la plus grande découverte archéologique du monde. Cela me tenta bien, surtout du fait d’entendre que mon père allait mieux et avait entreprit de se changer les idées. Ce fut donc avec plaisir que j’acceptais leur invitation. Apparemment, ils étaient en Egypte, au sud d’Abou-Simbel. Réservant un vol, je partis le plus vite possible pour les rejoindre. Notre famille fut heureuse de se retrouver et de travailler ensemble. On m’expliqua quel était l’objet de leur recherche et je devais l’avouer, c’était du lourd. Mike et père étaient sur les traces du tombeau d’Osiris. Impressionner, je mis à profit mes talents pour les aider dans leur recherche. Ce fut au bout d’une semaine d’intense labeur que nous localisions l’entrée du tombeau du dieu souverain du royaume des morts.

Il a fallu compter encore un mois pour déblayer le passage et le spectacle était incroyable. Un long escalier menait à une porte en grès immense, décorait d’une représentation d’Osiris, gardait par deux Anubis en obsidienne. Laissez-moi vous dire que c’était impressionnant. En voulant étudié la porte, je manquais de me retrouver à plusieurs mètres plus loin en touchant la pierre décorée. L’entrée était protégée par une sorte de protection magique. Je demandais alors « Comment allons-nous entrer ? » En réponse, Mike décocha un sourire machiavélique et dévoilé, son secret, un objet aussi bleu qu’un ciel pur, en forme de larme, incruster d’émeraude. Je reconnus sans mal un des artefacts les plus célèbres d’Egypte, la larme d’Isis. Je demandais comme l’avait-il découvert, mais Mike ne souffla un seul mot. Posant l’artefact sur la porte, la protection magique tomba comme un soufflé. Et la lourde porte s’enfonça dans le sol automatiquement.

Tu veux sans doute savoir comment c’était à l’intérieur. Et bien imagine la plus grande salle que tu n’es jamais vue. Plus grand que le hall commercial de Métropolis ou de New-York. Un immense espace antique circulaire. Le plafond était incroyablement haut, on aurait cru qu’il dépassait du sol en sable juste au-dessus. Des colonnes peintes en roseau faisaient tout le tour, soutenant la pesante coupole. Des statues en or représentant des dieux antiques était placé entre chacune de ces colonnes. Les murs étaient gravés de hiéroglyphes et de représentation de guerriers luttant contre des monstres dont je n’avais jamais vu. Au centre se trouvant un sarcophage. Il brillait comme un diamant, émettant une lumière blanche et aveuglante. En descendant un escalier qui zigzaguait, nous arrivions au centre de la pièce. Le sarcophage était gravé aussi de hiéroglyphes, dont je me fis une joie de commencer à traduire, malgré la puissante lueur. Était-il possible qu’il puisse s’agir du sarcophage d’Osiris même ? Un dieu pouvait être enterré là ?

Ce fut comme trouvé le saint Graal. J’étais tout excité et je m’empressais à commencer à tout étudiais. Mais père et Mike me laissa le temps. Ils firent venir dans la salle funéraire toute leur équipe et ordonna qu’on ouvre de suite le sarcophage. Au début perplexe, je voulais savoir ce qu’il se passait ici. Mais ma famille ne me disait rien. Ils firent tomber le couvercle au sol. La lumière du cercueil en pierre s’arrêta à cet instant. Je voulais jeter un coup d’œil à l’intérieur pour voir si la momie d’un dieu de la mort se trouvait dedans, mais je n’eus le temps. Le sarcophage libéra un vent violent et se transforma en un tas de sable. Toute la tombe se mit à trembler comme si nous étions dans des maracas géants. Le sable se mit à tournoyait faiblement, puis de plus en plus vite pour former un tourbillon qui ne faisait que s’agrandir. Un vortex prit forme devant nous, crachant des éclairs rouges qui frappèrent le plafond.

L’équipe prit peur et voulu s’enfuir, mais la porte se ferma à cet instant. Horrifié, je demandais à ma famille si tout cela était normal, que se passait-il aussi. Ils tournèrent la tête vers moi, affichant un sourire monstrueux. Père me dévoila sa véritable ambition. Il ne s’était jamais remis de la mort de son épouse. Lui et Mike étaient toujours rongés par le chagrin. À la longue, ils ont fini par comprendre que tout était de la faute des héros. Ils avaient décidé qui vivrait ce jour-là. Et ils se sont pris pour des dieux en décidant que mère devait mourir. C’est alors qu’une occasion s’offrait à eux. Après des recherches, Mike découvrit l’existence de cette tombe. Elle renfermait un passage menant au Douât, l’enfer égyptien. En arrivant à maîtriser ce pouvoir cacher, ils arriveraient à ramener mère à la vie. Ils se mirent à crier que si les faux héros choisissaient qui devaient vivre ou mourir, eux aussi avaient droit à ce pouvoir. Ils comptaient détruire ce monde défendu par ces anges protecteur, et créer leur propre monde. Ils m’invitèrent à les rejoindre, mais pour que tout cela fonctionnât, il fallait un sacrifice de sang.

Bien qu’au début, je ne comprenais pas leur folie, je vis l’équipe se faire absorber par le vortex un par un. Ils étaient jetés en pâture à ce trou béant. Je suppliais mon frère et mon père d’arrêter, mais ils furent obnubilés par leur œuvre. C’est alors que je les vis sortir du vortex. Pour certains, ce seraient des momies damnées, d’autres des mutants inter dimensionnels. En tout cas, ce sont des monstres qui sortirent du vortex et vinrent massacrer les derniers survivants de l’équipe. Prenant mon courage à deux mains, je sortais mon revolver et je tirais sur ces horreurs. On aurait dit que les balles ne leur firent rien ou pas grand-chose. Sans doute les serviteurs d’Osiris, ou des enfants du chaos. En tout cas, je devais arrêter ça et j’ai dû faire ce que je n’aurais jamais cru faire un jour. Je me suis mis à me battre contre Mike. Nous nous échangions des coups. Mon frère m’insulta de toutes les manières possibles, disant en gris que je ne méritais pas ma place auprès d’eux. Mon père voulu me stopper, mais il fut emporté aussi dans le vortex. Mike hurla de tristesse en voyant cela. J’en profitais pour l’assommer et récupérer la larme. Mais je n’étais pas trop sûr de ceux que je faisais, mais je le fis. Je lançais l’artefact au centre u vortex de sable. Une lueur bleue remplissait toute la salle. Les éclairs stoppèrent et les monstres furent absorbés à leur tour dans le tourbillon avant que celui-ci ne cesse d’un coup. Il ne restait plus grand monde en vie, et je pris plusieurs heures à retrouver mon souffle ou du moins à réfléchir convenablement, ébranler par tous ceux qui venaient de se passer.

La suite ne fut pas vraiment de tout repos. En rentrant, on m’a averti que mon frère et mon père avaient volé des artefacts précieux dans divers musée du monde pour accomplir leur rituel. Comme mon père avait disparu, mon frère fut arrêté. Mais la raison l’avait abandonné et il fut envoyé dans l’asile d’Arkham même. Quant à moi, on m’attribua la mauvaise réputation de mon paternel. Je fus viré du musée de Métropolis. Et on me voyait comme un voleur. Pour vivre, je poursuivais mon travail d’archéologue, mais avec plusieurs mécènes. Un peu comme un mercenaire, on peut dire. La réputation qu’on m’avait donnée à cause de mon père devenait un peu vraie, car il m’arrivait que pour une tierce personne, je vole un artefact pour lui, mais ne perdant pas de vue mon code moral.

Tu dois te demander, si moi aussi au final, j’en tenais rigueur aux héros pour la mort de mère, ou pour mon père et mon frère pour leur folie. Je te dirais que non. Les héros n’étaient pour rien dans la disparition de notre mère dont aucune trace de son corps ne fut retrouvée. Ils ont fait ce qu’ils ont pu pour sauver l’humanité, je ne pouvais leur en vouloir, juste aux envahisseurs. Pour mon père et mon frère non plus. La raison les avait quittés à cause de ce drame, c’était compréhensif. Bien que je trouvasse leurs agissements condamnables, elles étaient compréhensives. Je ne sais pas si ce portail menait bien au Douât, mais si tel est le cas, j’espère que père a trouvé la paix et qu’avec un peu de chance, il est avec mère.

De mon côté, je ne serais te dire où j’en suis. Bien sûr, je continue de mener mon boulot d’archéologue indépendant. Mais dans ce monde où l’on distingue la lumière et les ténèbres, je ne serais te dire où je me trouve. Certains te diront que je suis un héros, car je peux sauver des vies, d’autres que je suis un criminel car je vole et peux servir des gens peu recommandables. Ou encore dire que je suis une sorte d’indépendante ou de mercenaire, ce qui serait plus vrai. Mais pour tout te dire, je ne me considère en rien de tout cela. Si cette histoire ma apprit une chose, c’est que je ne suis qu’un homme, ayant ses limites, n’ayant pas grand-chose, mais libre de son destin.

Jack Emerson est un humain, il ne possède aucun pouvoir. Par contre, il a de nombreuses habiletés dût à son métier à la fois physique qu’intellectuel.

Jack sait manier les armes à feu, aussi bien qu’un simple pistolet à un fusil. Il a appris très jeunes à sans servir et cela lui est souvent utile quand il doit se mesurer à divers adversaires qui viennent nuire à ses projets. Dans le même domaine, il est un bon combattant au corps à corps. Il sait maîtriser divers sports de combat apprit durent ses voyages. On y retrouve de la boxe anglaise, le Aha, du Bino Ryu, Boxe de pied et un mélange d’art martial asiatique. Il sait se battre au couteau et à l’épée également, mais cela il el pratique moins.

Il a développé aussi une grande résistance physique et en agilité grâce à de dur entrainement sportif et à la pratique de certains sports extrêmes.

Emerson est aussi quelqu’un de très intelligent. Il peut lire rapidement comme finir un livre de cinq cent pages en deux jours par exemple.

Il sait parler plusieurs langues anciennes, égyptiens, grec, latin, un peu le runique, et actuel, comme le français, l’espagnol, l’italien, l’arabe et un début de russe.

Jack possède aussi un grand esprit d’analyse. Il peut étudier sous tous les angles un objet ou un environnement et réussir à le comprendre, dans le domaine du possible, et à l’exploiter.